mercredi

Chronique d'un mea culpa


Hier, je regardais les informations d’un œil mi-triste mi-amusé.
Cette neige couvrant une grande partie de notre pays, changeait non seulement le paysage mais aussi les gens.
Certains furieux, d’autres les sourcils froncés,  et enfin, les fatalistes voire souriants.
Ici, le vent avait chassé les nuages, et quand j’ai vu que la météo avait prévu de la neige chez nous, j’ai ri. Il faisait beau. D’ailleurs, il s’agissait bien de météo à prévisions variables, puisque ces dernières avaient changé dans l’après-midi.

Ce matin, quand je suis sortie, la température était douce. Enfin, comme une température peut être douce en hiver. Quand on est bien couverte.
De retour à la maison (et découvrant par la même occasion qu’elle était bien plus chaude à l’intérieur qu’à l’extérieur), je me suis confortablement… que dis-je… douillettement installée… avec un bon chocolat chaud.

Et c’est là que j’ai vu la neige tomber à gros flocons.

Pardon. Pardon à ces messieurs de la météo d’avoir douté.

Des petites plumes blanches volètent dans le ciel et s’accrochent aux voitures et sur les arbres. Pour le moment, c’est joli. Pour le moment, je fais partie des « souriants ».
Demain, peut-être aurai-je les sourcils froncés en tentant de faire démarrer ma voiture…




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